À Casablanca, Neyleen continue d’affirmer une vision singulière du bijou : directe, instinctive, engagée. L’arrivée de la maison Vever renforce cette lecture contemporaine du corps orné, où chaque pièce, choisie pour sa force de présence, dialogue avec la peau, la lumière, et l’été.
À Casablanca, Neyleen n’expose pas des bijoux. Elle compose un langage. Un alphabet précieux où chaque créateur a son accent, chaque volume son silence, chaque éclat sa manière d’attraper la lumière. Loin des codes figés de la parure, ses sélections parlent directement au corps, à son désir de liberté, de narration, d’intensité.
Cet été, un nom rejoint cette partition singulière : Vever. Maison française bicentenaire, pionnière de l’Art Nouveau, réveillée aujourd’hui par une nouvelle génération avec une vision résolument contemporaine. Un geste fort, éthique, structuré. Rien de nostalgique ici : juste un art du détail poussé jusqu’au vertige.
Autour de Vever, une constellation de signatures radicales ou tendres, jamais neutres. D1928 pour ses formes tendues comme une phrase directe. Peruffo, dont chaque pièce semble dessinée au scalpel. Selim Mouzannar, Rouvenat, L’Atelier Nawbar, Sorellina… Tous convoqués pour leur capacité à dialoguer avec le vivant. Des bijoux qui épousent une main, encerclent une clavicule, détournent un profil. Des bijoux qui coupent, qui caressent, qui tiennent tête.
Dans cette mise en scène, des perles qui n’ont rien de sage, bagues aux allures de sculptures mobiles, colliers à peine posés, le bijou devient trace. Marque d’un passage. D’un été. D’un regard qu’on choisit de provoquer.
@veverjewelry
@neyleen_officiel
