
Comment êtes-vous devenu artiste visuel ?
Mon parcours n’a pas été linéaire. Passionné de dessin depuis l’enfance, j’ai d’abord évolué dans le monde corporate, où l’étude de la psychologie humaine m’a profondément marqué. Peu à peu, j’ai ressenti le besoin d’exprimer ce que les mots ne pouvaient traduire. L’art est devenu mon langage, me permettant de donner forme à l’invisible.
Quelles sont vos inspirations et votre approche ?
Mon travail repose sur l’observation de l’humain. Depuis toujours, je cherche à comprendre les réactions et motivations des gens, une curiosité qui s’est accentuée avec le temps. Mon intérêt pour la complexité du mental guide ma démarche, convaincu que nous nous connaissons bien moins que nous le pensons.
Y a-t-il une œuvre dont vous êtes le plus fier ?
Ma meilleure œuvre est celle que je n’ai pas encore créée. Cette idée m’anime, me pousse à me réinventer et à perfectionner mon art. Plutôt que de me tourner vers le passé, je préfère avancer, toujours en quête de nouvelles explorations artistiques.
@artist_khalil_boubekri