
Lorelei condense la rencontre entre Giorgetti et Maserati et s’impose comme une sculpture habitable. Le canapé se dessine comme une carrosserie immobile, tendue et fuselée.
Trois coques rigides enveloppées de cuir pleine fleur définissent une assise enveloppante. Les inserts en cuir ou en bois soulignent les lignes avec une précision mécanique. Les coutures tendues accentuent la dynamique et projettent l’objet dans une gestuelle de vitesse contenue. Le salon devient une scène où l’immobilité déploie l’énergie d’un mouvement intérieur.

Un élan sculptural
Lorelei reprend le vocabulaire de l’automobile pour l’inscrire dans le domestique. Les coques rappellent les sièges baquets, l’ergonomie épouse le corps avec exactitude. Le dessin se lit comme une continuité fluide, du dossier à l’assise. Le canapé impose sa présence comme une sculpture fonctionnelle, capable de transformer l’espace en paysage dramatique.

Ingénierie émotionnelle
Sous la sensualité des lignes, l’ingénierie se déploie. La structure allège l’ensemble, la mousse haute densité sculpte le confort, les coussins à mémoire de forme adaptent le mobilier au corps. Lorelei conjugue performance technique et couture italienne. L’objet manifeste une vision du design où l’émotion naît de la précision, où l’habitat s’élève en expérience esthétique et sensorielle.
Chez HWM Maroc
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