fbpx Skip to main content
A la une, Tendances

Kenzo Takada rhabille le Mah Jong de Roche Bobois

By décembre 10, 2017No Comments

Roche Bobois a fait appel au styliste japonais Kenzo Takada pour offrir un nouvel habit à l’une de ses icônes, le Mah Jong, créé en 1971 par Hans Hopfer, et numéro un des ventes de canapés de la marque française. Missoni, Jean-Paul Gaultier et Sonia Rykiel se sont déjà prêtés à cet exercice, mais cette fois, Kenzo Takada l’a accompagné d’objets de décoration à la fois poétiques et pleins de délicatesse.

 

 

Le styliste japonais, surdoué de la mode, s’est inspiré de sa culture pour créer tissus, vases, coussins et tapis pour Roche Bobois.

Un Mah Jong aux motifs floraux et géométriques
«Kenzo Takada a opté pour un vrai parti pris esthétique en puisant dans la richesse des kimonos anciens pour revisiter le Mah Jong» a expliqué Gilles Bonan, président du directoire de Roche Bobois. Il a créé pour ce canapé composable par éléments les tissus Nogaku, disponible en trois harmonies qui expriment respectivement avec douceur, vivacité et profondeur, les trois temps de la journée : Asa (le matin), Hiru (le midi), Yoru (le soir).

Des objets sophistiquées et teintés de modernité
Kenzo Takada a complété sa gamme de tissus avec une collection d’objets sophistiqués. Les vases Aka Hanawa, Shiro Hanawa, Aka Kame, Aka Uroko, Aka Muji…, en faïence tournés à la main, émaillage par double cuisson, rehaussés d’émaux, puis émaillés et recouverts de motifs floraux par application de feuilles de cuivre et d’or, témoignent du savoir-faire nippon dans les arts du feu.
La collection de coussins est composée de trois modèles : Kame (en jacquard surligné d’un passepoil coordonné), Hanagame (Patchwork de deux tissus jacquard séparés par un galon), Ichimatsu (jacquard traité comme un obi). Enfin, le Tapis Gara Juutan, tufté main, reprend les motifs des tissus.
Une collection qui puise dans les racines du couturier et dans sa collection de kimonos qu’il a prêtée au Musée Guimet pour l’exposition «Kimono. Au bonheur des dames».
A découvrir chez Roche Bobois